Actus du développement durable
07/12/2018
Le tout 1er rapport annuel de l’Observatoire mondial de l’action climatique non-étatique
Le 20 novembre, l’Observatoire mondial de l’action climatique non-étatique, créé par l’association Climate Chance, a publié son premier rapport annuel.
Après la publication du rapport du GIEC sur les conditions pour rester sous un réchauffement mondial de 1.5°C, ce rapport met en lumière le potentiel d’action des acteurs non-étatiques (entreprises, autorités locales, ONG) pour le climat. Si les engagements des Etats constituent une condition nécessaire, elle demeure non suffisante pour limiter les impacts négatifs du changement climatique. Le dernier rapport du GIEC montre à quel point nous nous éloignons chaque jour un peu plus de la trajectoire de 1.5°C. Toutes les organisations, tous les secteurs d’activités, tous les Etats et chaque citoyen doit urgemment agir en ce sens. C’est de ce constat qu’est né l’Observatoire mondial de l’action climatique non-étatique, créé par Climate Chance. Sa mission est de faire l’analyse de l’impact réel des actions entreprises par les acteurs non-étatiques sur l’évolution des émissions de gaz à effet de serre. Grâce à la synthèse de près de 1000 sources référencées (nombreux rapports mondiaux de think thanks, d’ONG, de base de données ou encore de littérature scientifique), ce premier rapport dresse le potentiel des acteurs non-étatiques dans la lutte contre le changement climatique et met en relief plus de 500 initiatives et 23 cas d’étude dans plus de 100 territoires. Ce rapport se divise en 3 cahiers : un premier cahier propose une analyse sectorielle en se focalisant sur 3 domaines (l’énergie, le transport, l’industrie et l’utilisation et le changement d’affectation des terres et des forêts), le deuxième cahier se concentre sur la mobilisation territoriale(question du reporting des collectivités et de l’action des élus locaux et de leurs réseaux) ; enfin le troisième et dernier cahier propose une analyse plus approfondie sur l’impact de la finance dans la nécessaire transition à opérer.
A lire
Après la publication du rapport du GIEC sur les conditions pour rester sous un réchauffement mondial de 1.5°C, ce rapport met en lumière le potentiel d’action des acteurs non-étatiques (entreprises, autorités locales, ONG) pour le climat. Si les engagements des Etats constituent une condition nécessaire, elle demeure non suffisante pour limiter les impacts négatifs du changement climatique. Le dernier rapport du GIEC montre à quel point nous nous éloignons chaque jour un peu plus de la trajectoire de 1.5°C. Toutes les organisations, tous les secteurs d’activités, tous les Etats et chaque citoyen doit urgemment agir en ce sens. C’est de ce constat qu’est né l’Observatoire mondial de l’action climatique non-étatique, créé par Climate Chance. Sa mission est de faire l’analyse de l’impact réel des actions entreprises par les acteurs non-étatiques sur l’évolution des émissions de gaz à effet de serre. Grâce à la synthèse de près de 1000 sources référencées (nombreux rapports mondiaux de think thanks, d’ONG, de base de données ou encore de littérature scientifique), ce premier rapport dresse le potentiel des acteurs non-étatiques dans la lutte contre le changement climatique et met en relief plus de 500 initiatives et 23 cas d’étude dans plus de 100 territoires. Ce rapport se divise en 3 cahiers : un premier cahier propose une analyse sectorielle en se focalisant sur 3 domaines (l’énergie, le transport, l’industrie et l’utilisation et le changement d’affectation des terres et des forêts), le deuxième cahier se concentre sur la mobilisation territoriale(question du reporting des collectivités et de l’action des élus locaux et de leurs réseaux) ; enfin le troisième et dernier cahier propose une analyse plus approfondie sur l’impact de la finance dans la nécessaire transition à opérer.
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